Dans le cadre de l'exposition peintures de 2022 à La Machine, il a été rendu un hommage à Jeanne Prugnard, peintre, qui nous a quittés en 2021.
Jeanne Prugrard est née le 9 février 1928 à Paris. Dans sa famille, personne ne dessinait, ni ne peignait. Elle habitait la région parisienne, et toute petite déjà, elle a été attirée par le dessin. A la fin de la seconde guerre mondiale, elle a suivi des cours de dessin par correspondance, et elle essayait la peinture à ses moments perdus. Plus tard, habitant l'Auvergne, ses promenades étaient l'occasion pour elle de saisir de beaux paysages où les lumières étaient différentes. Petit à petit, elle rencontra des peintres auvergnats qui lui proposèrent d'exposer ses réalisations sur l'agglomération de Clermont-Ferrand.
Il y a trente ans, au moment de sa retraite, elle s'installa à La Machine, où elle poursuivit ses réalisations en développant ses techniques de peintures : peinture à l'huile le plus souvent, mais aussi aquarelle, pastel sec, dessin, et même peinture à base de thé pour un rendu sépia.
Pour chacun de ses tableaux, elle commençait toujours par quelques traits qui délimitaient les principales lignes de son sujet. D'après nature, une journée suffisait pour réaliser une ébauche au fusain et commencer les premières couleurs. C'est d'après des photos que la famille ou les amis lui envoyaient, qu'elle choisissait ses sujets et la technique qu'elle utiliserait pour les réaliser.
Elle pouvait passer un ou deux mois à travailler sur une toile quand celle-ci était de taille importante, seule ou entourée d'amies qu'elle conseillait. Elle avait créé un "atelier" à son domicile, où chaque semaine, lors d'une journée amicale, elle suivait, conseillait et peignait avec ses élèves.
Elle a participé de la première à la dernière de nos expositions peintures. Très fière de partager ces moments avec d'autres artistes, et même si son travail ne pouvait rivaliser avec ses peintres préférés (Monet, Manet, Picasso ou Degas), c'est toujours avec un réel plaisir qu'elle s'installait devant son chevalet.
Elle nous a quittés à l'été dernier et elle nous manquera.
Je vous propose de retrouver quelques unes de ses oeuvres ci-dessous.
Jeanne Prugrard est née le 9 février 1928 à Paris. Dans sa famille, personne ne dessinait, ni ne peignait. Elle habitait la région parisienne, et toute petite déjà, elle a été attirée par le dessin. A la fin de la seconde guerre mondiale, elle a suivi des cours de dessin par correspondance, et elle essayait la peinture à ses moments perdus. Plus tard, habitant l'Auvergne, ses promenades étaient l'occasion pour elle de saisir de beaux paysages où les lumières étaient différentes. Petit à petit, elle rencontra des peintres auvergnats qui lui proposèrent d'exposer ses réalisations sur l'agglomération de Clermont-Ferrand.
Il y a trente ans, au moment de sa retraite, elle s'installa à La Machine, où elle poursuivit ses réalisations en développant ses techniques de peintures : peinture à l'huile le plus souvent, mais aussi aquarelle, pastel sec, dessin, et même peinture à base de thé pour un rendu sépia.
Pour chacun de ses tableaux, elle commençait toujours par quelques traits qui délimitaient les principales lignes de son sujet. D'après nature, une journée suffisait pour réaliser une ébauche au fusain et commencer les premières couleurs. C'est d'après des photos que la famille ou les amis lui envoyaient, qu'elle choisissait ses sujets et la technique qu'elle utiliserait pour les réaliser.
Elle pouvait passer un ou deux mois à travailler sur une toile quand celle-ci était de taille importante, seule ou entourée d'amies qu'elle conseillait. Elle avait créé un "atelier" à son domicile, où chaque semaine, lors d'une journée amicale, elle suivait, conseillait et peignait avec ses élèves.
Elle a participé de la première à la dernière de nos expositions peintures. Très fière de partager ces moments avec d'autres artistes, et même si son travail ne pouvait rivaliser avec ses peintres préférés (Monet, Manet, Picasso ou Degas), c'est toujours avec un réel plaisir qu'elle s'installait devant son chevalet.
Elle nous a quittés à l'été dernier et elle nous manquera.
Je vous propose de retrouver quelques unes de ses oeuvres ci-dessous.
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